Secrétaire d'état, Dr. Jon Gerrard, rencontre les étudiants de l'école secondaire Turner Fenton en ligne et en personne.
École secondaire Turner Fenton
Brampton, Ontario

Par Vyshya et Chantal (10ième année)

Le 30 septembre, des étudiants de plusieures écoles à travers le Canada ont participé à une causerie en ligne avec Dr. Jon Gerrard secrétaire d'état des sciences et de la technologie ainsi que de la diversification économique de l'ouest. Les étudiants en journalisme de l'école Turner Fenton Vishya Goel, Chantal Cowan et Daniel DeSousa de Brampton enOntario se sont joint à d'autres étudiants de Wrinkler et de Portage la Prairie au Manitoba et de Cornerbrook à Terre-Neuve pour poser des questions au secréta ire d'état sur les journaux en ligne ainsi que sur la technologie informatique et leurs relations aux écoles canadiennes. Ceci était la première causerie organisée par Rédaction de Rescol à Terre-Neuve.

Les quetions des étudiants étaient réfléchies et matures. Les étudiants de portage la Prairie ont demandé:«comment peut on s'assurer que toutes les écoles ont une chance égales d'accéder à l'Internet?» Dr. Gerrard a répliqué: ««Nous avons plusieurs d éfits. Un de ces défits est de nous assurer que le coût pour accéder à l'Internet est bas. Deuxièmement, nous devons nous assurer que les écoles peuvent utiliser la tecnologie à son meilleur avantage. Troisièmement, nous devons nous assurer qu'il y a a ssez d'ordinateurs dans les écoles. Tous cela veut dire que ce n'est pas simple, mais nous faisons de notre mieux- par exemple les ordinateurs pour les projets d'écoles et Rescole pour les aider.»

Les étudiants de Brampton onbt demandé: «Le journalisme est un champ d'emploi difficile à pénétrer. Est-ce que l'expérience en ligne acquise par les étudiants leur seront bénéfique?» Dr.Gerrard a répondu:«Le journalisme est une forme de communication très importante. Apprendre à écrire pour un journal est quelque chose que les gens devrait apprendre à faire si possible. Une des bonnes choses à propos de RDR (Rédaction de Rescol) est que vous avez la chance de travailler avec la collaboration de men tor-- des étudiants qui sont plus avancés et qui peuvent vous aider à developper vos habilités.

Dr.Gerrard a répondu a autant de questions qu'il a pu, mais il utilisait une ancienne version de Netscape et a eu des difficultés techniques qui l'on forcé à se débrancher plusieurs fois. Ceci a ralenti la causeries. Quelques étudiants étaient déçus par la session et se sont livrés à des conversations personnelles qui étaient tout à fait impertinente avec le sujet. Cependant, la majorité des étudiants étaient avides de pouvoir parler avec Dr. Gerrard et d'entendre son opinion sur ce qui concerne les jeunes canadiens. Janette, une étudiante de Winkler a dit:«Même si Dr. Gerrard n'a pas eu le temps de répondre à toutes nos questions comme il l'aurait voulu, le tout a quand même été une très bonne expérience.»

Après que Dr.Gerrard se soit débrancher pour se rendre à la période de questions de la chambre des communes, la causerie est devenue plus familière. Les étudiants ont parlé de plusieurs issues entourant l'Internet. Mélanie de Wrinkler a dit:« Je pens e que les ordinateurs sont merveilleux et que la nouvelle technologie est vraiment formidable, mais où celà laisse la race humaine? Les gens se voient remplacer par des ordinateurs et il y a de moins en moins d'interaction entre les gens. Y a-t-il un mi lieu où auront nous un futur en ligne?»

Comme s'il répondait à sa question, une semaine après la causerie, le 8 octobre, l'école Turner Fenton à Brampton recevait la visite du Dr.Gerrard. Colleen Beaumier, membre du parlement, l'accompagnait. Ils ont fait le tour de l'école avec le directe ur Dr. Mike Miller, les assisstants directeurs terry Hamm et Alan Colthart, et une délégation d'étudiants composée de Kyle Heasman, Vishya Goel, Michelle Chan et Chantal Cowan.

Les deux dignitaires ont trouvé que l'école était à jour et que les programmes et la technologie disponibles étaient bien impressionants. Ils ont visité les laboratoires informatiques MacIntosh, où les étudiants en journalisme apprennent à créer des v ersions en ligne du journal de l'école et où les étudiants en art aprrennent à utiliser les programmes d'images digitales. Ils ont aussi visité le laboratoire de technologie de communication où quelques étudiants produisent «Noise» une émission de télévi sion sur le câble. Et finalement, ils ont visité le centre des ressources, où un groupe d'étudiants suivent des cours sur le fonctionnement de l'Internet. Aucun étudiant n'a hésité à dire aux figure publiques combien ils aimaient leur école, ni à décrir e les projets sur lesquels ils travaillaient.

À la fin de la visite, Vishya, Chantal et Kyle ont eu l'occasion de poser des questions aux visiteurs. Dr. Gerrard a amassé son bagage de technologie au fil de sa carrière. Il a également appris ce qui se passait sur l'Internet pendant qu'il faisait des recherches médicales. Dr. Gerrrard est un médecin.

«À mon avis, le courrier électronique est devnu inestimable. Je voyage à travers le pays, et il m'est très difficile de rester en contact avec tout le monde au téléphone. Le courier électronique est l'outil que j'utilise pour rester en contact avec l es gens; je peux communiquer avec eux à n'importe quelle heure de la journée» nous a avoué Dr. Gerrard.

En ce moment, le secrétaire d'état essaie d'augmenter l'accès des étudiants à la technologie parce que: «ce sera très important quand ils se joindront à la main d'oeuvre». Le Dr. Gerrard compare les étudiants à des oiseaux blessés. Il a dit:« La chos e la plus excitante est le moment où l'on relâche l'oiseau dans la nature et que l'on sait qu'il y survivra... les écoles aident les jeunes à voler de leurs propres ailes.

Dr. Gerrard a aussi partager avec nous des idées très intéressantes sur la technologie. «La technologie est comme une extension de ce que l'humain peut faire par lui même. C'est merveilleux en ce que ça nous permet de faire des choses qui seraient sin on très difficiles. Si on pense à ce que les gens utilisaient pour imprimer des manuscrits il y a des centaines d'années, et maintenant la facilité avec laquelle on peut le faire, c'est extraordinnaire!»

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