Le Grand train de la francophonie à Québec
  Programme de mentorsÉditions précédentes
Branche-toi sur RDRBoîte à outilsProgramme de mentorsDans la salle de classeÉditions précédentesCe NuméroPage d'accueil
Boîte à outilsDans la salle de classeCe Numéro


275 ados sur le Grand train à Québec


29 août 1999

À titre d'introduction, les jeunes étaient invités à décrire la beauté de la Capitale, Québec.

Par la suite, l'animatrice a posé la question du jour qui allait comme suit : « Si vous aviez à changer le monde, qu'est-ce que vous feriez? » Sans attendre, Christelle a répondu qu'elle « enlèverait toutes les armes pour que les enfants aient plus de sécurité dans les écoles et les garderies ». À savoir s'il est souhaitable de remettre en question la chasse sportive, elle a répondu « que ça aussi je trouve ça cruel ».

 

Dominique (animatrice) a aussi laissé s'exprimer des jeunes qui font du bénévolat dans un cadre scolaire qui l'exige. Certains ont été en contact avec Leucan et Moisson Québec et ils disent avoir « bien aimé l'expérience ». Pour eux, il est important « d'aider les pauvres et les plus démunis ». Ils pensent que « ceux qui n'ont pas aimé l'expérience ont mal choisi ce qu'ils ont voulu faire ».

Marie-Julie nous a parlé de Priscella, une jeune de douze ans qui est affecté d'un retard mental, et de ses contacts avec elle. Marie-Julie l'a définie comme étant une enfant « très attachante qui apprend à son rythme ». Elle lui a fait prendre conscience que l'on perd de la naïveté en vieillissant et c'est bien d'être capable de s'amuser avec un rien, à l'image de Priscella.

 
La gare de Québec, où l'émission
fut enregistrée à bord du train
Une autre jeune, Rita, croit qu'il est primordial que les jeunes soient « actifs et sensibilisés à ce que l'on fait et ce que l'on va faire demain » pour qu'ils puissent « prendre leur place ». En ce qui concerne la politique, elle dit que « tout le monde en parle » et que c'est bien parce que «personne n'est à l'abri de la politique ». Elle croit aussi que le titre de Capitale nationale est une bonne appellation pour Québec et que le Sommet de la francophonie est une belle occasion de sensibiliser les jeunes et les plus vieux pour que les jeunes s'appuient au Québec comme ailleurs.


Retour

 Retour