Le Grand train de la francophonie à Moncton
  Programme de mentorsÉditions précédentes
Branche-toi sur RDRBoîte à outilsProgramme de mentorsDans la salle de classeÉditions précédentesCe NuméroPage d'accueil
Boîte à outilsDans la salle de classeCe Numéro


275-Allô/275-Ados à bord du Grand train à Moncton

Sébastien Tirman


À bord du Grand train de la francophonie, une jeune adolescente prétend ne pas comprendre pourquoi la ville de Moncton a été choisie comme ville hôtesse du VIIIe Sommet de la francophonie. « Moncton est très anglaise » mentionne Pascale. Elle est néanmoins fière d'avoir le Sommet dans sa province. « Cela va permettre de montrer aux anglophones qu'on parle français aussi. Ça nous aide à être plus francophones ». Pour conclure, elle ajoute : «Il y aura des spectacles montrés à Moncton ».

 

Un autre jeune, Pascal, a donné sa vision du Sommet : «Il va traiter de la jeunesse. Les jeunes ont besoin de faire parler d'eux! »

Nombreux , les Acadiens s'affirment et perpétuent la fierté de leur identité profonde. Cette affirmation s'est manifestée dès le début de l'émission avec la question suivante : comment les Acadiens sont-ils différents des autres francophones? Une jeune a répondu : « On a su sauvegarder notre culture. On a eu un gros passé, avec beaucoup d'obstacles. Par exemple, la déportation où les Acadiens ont été délogés ». La question du jour était : pourquoi le français vous tient à coeur? Vanessa, choisie parmi une multitude de mains levées, s'est exclamée: « Parce que c'est une belle langue ». Pascal était fier de pouvoir dire qu'il était Acadien. « Le français a beaucoup de mots pour faire des poèmes » dit-il. « C'est pour le niveau de difficultés que beaucoup d'anglais ne veulent pas apprendre la langue » a-t-il rajouté. En réponse à la question « Comment faire valoir la langue française? », Justin a répondu : « En la parlant tous les jours et en essayant de ne pas utiliser d'anglicismes ».


Retour

 Retour