Divertissements
  Programme de mentorsÉditions précédentes
Branche-toi sur RDRBoîte à outilsProgramme de mentorsDans la salle de classeÉditions précédentesCe NuméroPage d'accueil
Boîte à outilsDans la salle de classeCe Numéro


Adieu le noir et blanc : À l'âge de huit ans, le Game Boy découvre enfin la couleur.

Stephane Mutamba
Collège St-Barthélémy
Liège, Belgique


Déjà entre les mains de plus de 600 000 Belges, la petite console portable de Nintendo a connu une nouvelle jeunesse avec la sortie cet été d'un appareil de photo numérique et d'une imprimante. On peut maintenant prendre des photos (en noir et blanc), les transformer de façon amusante, les intégrer dans les jeux, les imprimer sur des autocollants, etc... Et puis, il y a celui qu'on n'attendait plus : le Game Boy Color.

Malgré le Lynx d'Atari, malgré le GameGear de Sega, Nintendo avait toujours refusé de se lancer dans le projet d'une console de jeu portable avec écran couleur. On connaît la peu glorieuse carrière qu'on connue les deux appareils précédents, à cause principalement du problème de l'alimentation d'énergie: un écran couleur, çà « bouffe »! Nintendo a apparemment trouvé la solution à ce problème : le Game Boy Color se contente de deux piles AAA pour 10 heures de jeu.

Cette nouvelle attraction de Nintendo ressemble fort au Game Boy Pocket (avec écran noir et blanc), dont tous les jeux fonctionnent sur le Game Boy Color. Les nouveaux jeux de 12 couleurs pourront être utilisés sur l'ancien Game Boy (mais en noir et blanc bien sûr), tandis que d'autres de 24 couleurs pour les sprites et 32 pour les décors (c'est donc dire les jeux en 56 couleurs) ne pourront être utilisés que sur le nouveau Game Boy.

Après cette bonne nouvelle, en voilà une autre : la version couleur coûte environ le même prix que l'ancienne version sortie il y a huit ans : plus ou moins 3400FrB.

Beaucoup pensaient que le Game Boy était en train de mourir à petit feu et ils se sont trompés. Le revoilà qui se trouve une nouvelle jeunesse en couleurs s'il vous plaît!

 



Retour

 Back to Current Issue