Le Grand train de la francophonie à Montréal
  Programme de mentorsÉditions précédentes
Branche-toi sur RDRBoîte à outilsProgramme de mentorsDans la salle de classeÉditions précédentesCe NuméroPage d'accueil
Boîte à outilsDans la salle de classeCe Numéro


275-allô/275-ados sur le Grand train à Montréal

Sébastien Tirman


28 août

Une multitude de jeunes s'étaient rassemblés au Grand train de la francophonie, en gare de Montréal. Ils se sont exprimés sur deux sujets principaux: la vie en ville et en banlieue, ainsi que les enfants uniques.

 

Sur un côté du ring se trouvent les jeunes qui plaident pour la ville. « En ville, les gens sont sociables et tout est proche » s'exclame Sabrina. Elle mentionne avoir toujours habité Montréal. La société de consommation est mise en évidence par des jeunes qui font du magasinage une activité prisée. En parlant du quartier Ahuntsic, à Montréal, Marie-Frédérique a dit: « Il ya des pistes cyclables pour faire de la bicyclette et du patin à roulettes ».

Au côté opposé se retrouvent ceux qui préfèrent la banlieue. Rémi donna ses commentaires par téléphone: « J'aime le Centre de la nature. On peut faire du canot et un tas de choses ». Une autre mentionna que la banlieue égale la tranquillité et que le centre-ville n'est pas très loin finalement.

Au sujet des enfants uniques, Alexandra a dit : « Les liens uniques avec un frère ou une soeur vont me manquer ». Elle rajoute qu'ils ne sont pas les mêmes que ceux bâtis avec un ami ou un cousin. Elle mentionne que les décisions en famille sont plus rapides à prendre.

Interviewé après l'émission, Cidric Nelson, habitant Pointe-aux-Trembles, a dit qu'il aimait faire de l'athlétisme et du basketball. Pour Frazel Descadres, habitant aussi ce coin, « Il n'y a pas de place où aller ». Ça ne l'empêche cependant pas de danser et de faire du dessin. Habitant Rivière-des-Prairies, Winnie mentionne qu'il y a des Italiens dans son environnement et qu'il est difficile de savoir avec qui se lier d'amitié, ces derniers parlant souvent italien entre eux.


Retour

 Retour