28 août
Une multitude de jeunes s'étaient rassemblés
au Grand train de la francophonie, en gare de Montréal.
Ils se sont exprimés sur deux sujets principaux: la vie
en ville et en banlieue, ainsi que les enfants uniques. |
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Sur un côté du ring se trouvent les jeunes
qui plaident pour la ville. « En ville, les gens sont sociables
et tout est proche » s'exclame Sabrina. Elle mentionne
avoir toujours habité Montréal. La société
de consommation est mise en évidence par des jeunes qui
font du magasinage une activité prisée. En parlant
du quartier Ahuntsic, à Montréal, Marie-Frédérique
a dit: « Il ya des pistes cyclables pour faire de la bicyclette
et du patin à roulettes ».
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Au côté opposé se retrouvent ceux qui préfèrent
la banlieue. Rémi donna ses commentaires par téléphone:
« J'aime le Centre de la nature. On peut faire du canot
et un tas de choses ». Une autre mentionna que la banlieue
égale la tranquillité et que le centre-ville n'est
pas très loin finalement. |
Au sujet des enfants uniques, Alexandra a dit : « Les
liens uniques avec un frère ou une soeur vont me manquer
». Elle rajoute qu'ils ne sont pas les mêmes que
ceux bâtis avec un ami ou un cousin. Elle mentionne que
les décisions en famille sont plus rapides à prendre.
Interviewé après l'émission, Cidric Nelson,
habitant Pointe-aux-Trembles, a dit qu'il aimait faire de l'athlétisme
et du basketball. Pour Frazel Descadres, habitant aussi ce coin,
« Il n'y a pas de place où aller ». Ça
ne l'empêche cependant pas de danser et de faire du dessin.
Habitant Rivière-des-Prairies, Winnie mentionne qu'il
y a des Italiens dans son environnement et qu'il est difficile
de savoir avec qui se lier d'amitié, ces derniers parlant
souvent italien entre eux. |