Les dialogues des jeunes à travers le Canada
par Victor N., Toronto, ON
correction de la version française : Pierre

(available in English)

Étant un jeune ou un enfant, n'avez-vous jamais pensé à vos droits, à vos responsabilités ou, à comment le Canada peut être un pays bienveillant pour les enfants (ou les jeunes)? Vous devez donc être heureux d'entendre que ces choses-ci se passent pour vous.

Les adultes ont leurs droits, et nous aussi. Durant la journée du 18 décembre, 1989, les Nations Unies ont constitué la Convention relative aux droits des enfants (CNUDE), qui comprend la structure des droits des humaines élémentaires que tous les enfants sur la Terre devraient avoir. En 1990, plusieurs gouvernements se sont réunis à New York pour faire parti à une réunion qu'on appelle « Le sommet mondial des enfants », qui inclut 27 promesses que les pays planifient d'accomplir à 2000, pour tenter d'améliorer les vies des enfants. Et bien entendu, le Canada en fait partie. En mai 2002, les pays participants ont entamé une réunion nommée « La session extraordinaire des Nations Unies consacrées aux enfants » à New York, pour passer en revue les changements des conditions de vie des enfants effectués pendant les 10 dernières années; et aussi pour tracer les objectifs à atteindre et problèmes à régler d'ici 10 à 15 ans. Cependant, il n'y a que depuis très peu de temps que nos délégués sont âgés de 18 ans et moins.

Le résultat de cette session se résume en un document qui s'appelle « Un Monde digne les enfants ». Ce document en question donne une vue d'ensemble sur ce que pourrait être un monde digne des enfants. Les Nations Unies ont aussi développé un Plan d'Action pour guider les gouvernements de manière individuelle de façon à ce qu'ils puissent écrire leur propre charte, qui serait adaptée à leur propre nation. Le Canada aimerait bien arriver à élaborer le contenu définitif de ce plan d'action. Le Premier Ministre, le très honorable Jean Chrétien, a nommé la Sénatrice Landon Pearson, en collaboration avec plusieurs ministères comme le ministère de la Santé et le ministère du Développement des Ressources Humaines, dans le but d'établir un Plan d'Action national pour les enfants (PAN).

Comment devons-nous l'appliquer? Les deux ministères et la Sénatrice Pearson ont invité les jeunes de tous les coins du Canada à participer à quatre dialogues partout au Canada, pour discuter ce que nous devrions inclure dans le Plan d'action national. Le Yukon, la Colombie-Britannique, l'Alberta vont suspendre leur dialogue à Vancouver; Les Territoires Nord-Ouest, la Saskatchewan, et le Manitoba vont le suspendre à Winnipeg; et les provinces atlantiques vont suspendre celui-ci à Halifax.

Le premier dialogue commença le 29 et 30 mars, à Ottawa, pour les professionnels et 12 jeunes qui venaient des provinces de l'Ontario, du Québec, et du territoire de Nunavut pour discuter du Plan d'Action national. Nous sommes très heureux d'avoir pu inviter un des délégués à cette discussion pour qu'il puisse partager avec nous son expérience personnelle concernant le Plan d'Action National pour les enfants.

R= Le reporter (Victor)          D= Donovan

R : Bonjour Donovan! Ça va bien?
D : Bien sûr que oui!

R : Vous venez de quelle région du pays?
D : Je suis d'Orléans, Ontario, pas loin de la capitale du Canada. Beaucoup ne se passe pas ici. Malheureusement, je me demeure à côté d'une caserne de pompiers, il y a beaucoup de bruit, mais ça ne fait rien. Sauf un hôpital, cela a tous mes besoins, proche de chez moi, qui inclus la Place d'Orléans, dont n'est pas trop grand pour un centre commercial, pourtant c'est complet! Il y a tant de parcs et secteurs récréatifs, et beaucoup de services comme la piscine, la garderie, etc. C'est certainement un lieu délassant et agréable pour visiter si vous cherchez quelque part calme et beau.

À propos de mes activités à Orléans, ça se compose de beaucoup de relâchement. Mes parents travaillent dans le jardin dans mon arrière-cour, un long terrain étroit. C'est la point cumulant de l'été! Je sors quelquefois avec mes copains à vélo. Quand je vais au centre-ville, je visite la marché avec mes parents ou je vais à la centre Rideau et St-Laurent avec mes camarades!

Si on cherche un quartier délassant, sans le bruit et les rues bondées, avec la crime et la pollution, va à Orléans!

R : Comment avez-vous pris connaissance de ces dialogues entamés au Canada?
D : Ma mère travaille à l'Association Canadienne des Nations Unies et elle a trouvé de l'information chez son bureau. On a envoyé de l'invitation à partout le pays pour les jeunes à participer dans ces dialogues.

R : Vous vous impliquez beaucoup dans l'activisme et la participation des jeunes? Que pensez-vous que les jeunes de nos jours doivent faire pour s'impliquer activement dans notre communauté?
D : Je participe dans ma communauté activement. Effectivement, je fais partie d'un groupe qui se nomme les Pairs Aidant qui est animé par Christian Paquette. Une fois par mois, les Pairs Aidant et des autres se rejoindrent pour une rencontre pour discuter de divers sujets comme la drogue / l'alcool, le sexe, etc. Par rapport aux autres jeunes, il va falloir qu'ils se réveillent bientôt et commencent à au moins faire une petite chose ou deux.

R : Quel a été votre rôle durant le dialogue à Ottawa? Quels sujets étaient abordés?
D : Mon rôle comme jeunesse au dialogue était de donné mon opinion, faire des commentaires, etc. sur la Santé. Nous avons discuté plusieurs choses comme la santé physique et mentale, deux choses complètement différentes mais qui sont reliés; sans une, l'autre sera aussi pire.

Les autres groupes de discussion parlaient à propos d'offrir une éducation de qualité, protéger les enfants des mauvais traitements, de l'exploitation et de la violence, et aussi permettre la mobilisation sociale et la collaboration. À bout du dialogue, nous avons partagé les choses que nous discutions, que peut être ajouté au Plan d'Action national pour les enfants, et aussi nous avons identifié les nouveaux problèmes en survenant.

R : Avez-vous rencontré des personnes intéressantes lors de votre discussion?
D : Oui, autres que la Sénatrice Pearson, une personne très gentille et sociable, David Millen (Directeur Exécutif à CAYFO) et moi nous contactons régulièrement. Ottawa : Les amies de la jeunesse (CAYFO) et une organisation qui fournit spécialement les services à des enfants et les jeunes.

Malheureusement, le dialogue était seulement un jour, cependant je n'ai pas la chance pour faire connaissance de tous les participants, dont inclussent les professionnels de l'éducation, sociale et d'autre sorte.

R : Qu'en pensez-vous sur le dialogue?
D : Le dialogue était très enrichissant. Les informations qui ont été distribué ont été très intéressantes. Bonne idée d'inviter la jeunesse participer. Je pense que le gouvernement se nous laisse participer à des issues, surtout ceux-là qui nous concernent. La voix des jeunes devrait être entendue dans tous les issues qui concernent tous les Canadiens.

R : Qu'est-ce que vous avez appris?
D : J'ai appris que je ne suis pas le seul qui s'inquiète des problèmes qui affectent la jeunesse. J'ai aussi appris une panoplie de choses au sujet de la santé. J'ai aussi appris beaucoup de professionnels de la santé dans la groupe de discussion.

R : Quels sont vos espoirs pour le Plan d'Action national pour les enfants?
D : Que les buts seront respectés et non ignorer. Nous n'espérons pas que le Plan d'Action national pour les enfants serait en délai. Le Canada devrait continuer à s'améliorer, en étant une nation paisible et digne les enfants et les jeunes pour demeurer.

R : Promouvrez-vous le Plan d'Action national pour les enfants à votre communauté? Et comment?
D : Je suis en train de promotionné à travers mon école. Avec l'aide de l'animateur (Christian), je crois que nous pourrions intégrer plusieurs informations.

R : Merci beaucoup Donovan d'avoir partagé votre expérience avec nous. Nous espérons à vous parler bientôt.
D : Je vous en prie. À la prochaine tout le monde!


  



Retour à la Une